Note : J'ai réellement assisté à cette scène innommable... A la décharge (oui,bon) de Bruno, le cadavre était encore fumant : j'imagine que les effluves moites des entrailles étalées avaient embrouillé les sens de notre ami.
Quoiqu'il en soit, je n'ai plus aucune confiance en ce type de volatile.
Les beaux jours de retour, j'aime à aller croquer l'inconnu aux terrasses des cafés.
Ces petits instantanés de vie, pris sur le vif, y'a rien de tel pour affûter le crayon et assouplir les traits... et puis surtout, ça fait artiste.